L’affaire Ulbach (1827)

 

L’affaire Ulbach, c’est l’enquête du meurtre de la jeune bergère, Aimée, précédant la décapitation d’Honoré Ulbach. En effet, tout commence lorsque Aimée Millot, qui s’occupe de ses chèvres au Champ-de-L’alouette, a pour routine de recevoir la visite d’Honoré Ulbach, qui aime lui faire la cour . À cause du passé du jeune homme en question, la fermière,  madame de Detrouville qui s’occupe de la chevrière , a des doutes sur lui et demande à la jeune fille de couper les ponts avec celui-ci. Aimée  fait ce qui  lui est conseillé   et décide donc de lui remettre tous les biens qu’il lui avait offerts.  Mécontant de la tournure que prirent les évènements, M. Ulbach décide alors d’aller poignarder de cinq coups  la jeune bergère. Condamné à mort après les accusations portées contre lui, Honoré Ulbach va être guillotiné le 10 septembre 1827 à Grève ; connue aujourd’hui sous le nom de « l’Hôtel de ville » de Paris.  Inspiré par le meurtre de mademoiselle Millot, Victor Hugo commence à écrire le  roman « Le dernier jour d’un condamné » le lendemain de l’exécution de l’agresseur de celle-ci parce qu’il  est contre la peine capitale.  L’auteur essaye de refléter, dans son livre, l’autre côté de la médaille d’un condamné à mort afin d’exposer une vision différente à ses lecteurs. Victor Hugo dit que son but est de sensibiliser la population.

 

Héloïse Lachance, Maxime Larose et Vincent Yergeau