Oxymore

«J’ai monté d’une allure assez ferme. – il va bien! a dit une femme à côté des gendarmes.Cet atroce éloge m’a donné du courage. » (Chapitre XLVIII. P.137)

Dans cette citation, l’oxymore « atroce éloge » porte l’attention sur un des deux éléments en opposition. Ici, l’adjectif « atroce » met en relief le caractère morbide de l’éloge porté au narrateur puisque habituellement une personne condamnée à mort ne va pas bien.

«Ce bruit sourd de cris que j’entends au dehors, ce flot de peuple joyeux qui déjà se hâte sur les quais, […].» (p.113 chapitre XXVI)

Le narrateur emploie un oxymore en rapprochent les termes opposés : «bruit» et «sourd». La figure décrit quelque chose d’inconvenable tel qu’un bruit qu’on n’entend pas. Cela montre aux lecteurs que le narrateur est tellement sous le choc, qu’il entend seulement ses propres pensées, il bloque tout les sons qu’il y a autour de lui.