« Du reste, on suppose qu’il y a de l’air et du jour dans cette boîte de pierre » (p.21)
Cette métonymie suppose un lien logique entre l’air et l’oxygène ainsi qu’entre le jour et la lumière. En utilisant les termes qu’il a utilisé, le condamné dévoile son sentiment d’être coincé dans sa cellule, d’être exclu du monde extérieur, d’être seul.
« J’avais le paradis dans le cœur. » (p.122)
Le fait de revoir son amour depuis si longtemps et d’être si près d’elle comblait le personnage principal de bonheur, ce qui le faisait sentir au paradis, d’où la métonymie, « le paradis dans le cœur.
« À peine arrivé, des mains de fer s’emparèrent de moi. » (chapitre V page 74)
Cette citation comporte une métonymie, car le narrateur remplace les menottes par une expression («mains de fer») qui illustre la dureté et la froideur avec lesquelles il est traité.
«J’ai fermé les yeux, et j’ai mis les mains dessus, et j’ai tâché d’oublier, d’oublier le présent dans le passé.» (p.120)
«Tout Bicêtre, semblait rire, chanter, courir, danser» (p.84 chapitre XIII)
Le dernier jour d'un condamné 