Pléonasme

« Nous nous sommes assis, lui [le prêtre] sur la chaise, moi sur le lit. Il m’a dit :

Mon fils…

Ce mot m’a ouvert le cœur. Il a continué :

Mon fils, croyez-vous en Dieu?

Oui, mon père, lui ai-je répondu.

Croyez-vous en la sainte église catholique, apostolique et romaine?

Volontiers, lui ai-je dit.

Mon fils, a-t-il repris, vous avez l’air de douter.

Alors il s’est mis à parler. Il a parlé longtemps; il a dit beaucoup de paroles; puis, quand il a cru avoir fini, il s’est levé et m’a regardé pour la première fois depuis le commencement de son discours, en m’interrogeant… »  (Page 54, Chapitre XXX)

Il est très facile de repérer le pléonasme « il a dit beaucoup de paroles » pour mettre l’accent sur le long discours du prêtre qui n’est pas significatif du tout. Cela décrit la confusion du personnage ainsi que l’inutilité du discours.